Dans “La Croix” du mercredi 30 janvier, on peut lire ceci :
« L’Autorité de sûreté nucléaire doute de la capacité d’EDF à démontrer la résistance des huit soudures présentant des défauts sur le projet de réacteur nucléaire de troisième génération (EPR) de Flamanville. Elle (l’Autorité) pourrait contraindre l’électricien à effectuer de grosses réparations. Ce dernier a repoussé à fin 2019 la mise en service du réacteur et à 2020 son raccordement au réseau, qui conditionne la fermeture nucléaire de Fessenheim. Démarré en 2006, le chantier devait normalement être terminé en 2012. La facture est passée de 3’5 milliards à 10,9 milliards d’euros. »
Première remarque : en fait on joue aux dominos. L’ouverture de l’un fermera l’autre.
Deuxième remarque : on ose encore nous dire que c’est une électricité pas chère ?
Troisième remarque : certains osent encore y croire, à la fiabilité de ces énergies là, EPR ou autres ?
Et si tout va comme d’habitude, ça finira par une immense flamme en ville et ailleurs.
1er février 2019